L’éphémère groupe Dreano and Co avec Rémy, mon frère cadet aux percussions. Nous jouions dans des conditions matérielles rustiques. On dit aujourd’hui très « rock and roll ». Au début des années 80, les municipalités de banlieue ne s’étaient pas encore dotées de vraies salles polyvalentes. Je me souviens que Libération (dans un petit papier illustré d’un portrait) avait écrit « Dréano va encore se casser la voix au gymnase de Neuilly-Plaisance ».

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